Dans le cadre du festival
Les incarnés – Vivre le poétique,
cette exposition présente les photographies
e la série La rue infinie, liée au livre du même
nom paru aux éditions Phloème.

Il s’agit de ce que j’appelle des ‘peintures
perdues’ trouvées aux quatre coins de monde,
qui constituent à mes yeux un éloge du geste
artistique libre, gratuit, parfois involontaire,
et partagé par tous dans l’espace public.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Un éloge du sursaut, une utopie de la création
sans pensée commerciale, un élan de l’être
qui me ravit.

 

la rue infinie

L’exposition dure du 8 au 24 mars
et elle est ouverte du mardi au samedi
de 14h30 à 19h.

Merci à la Maison d’artistes Incarnato
qui a initié cette exposition et
la résidence d’auteur que je fais en
même temps au Havre.
Cette résidence est soutenue par la Drac
et Normandie Livre et lecture.

Merci à Pierre Lenoir Vaquero de son
accueil dans sa galerie.

contenu de l’exposition

photographies couleurs 22×32 cm, cadres chêne et livre paru aux éditions Phloème en juin 2021.
+ kakemonos de titre et de textes d’introduction

aspect des cadres

les photographies sont tirées sur papier fine art, dans un cadre de chêne clair brut et sans verre afin d’en faire des sortes d’échantillons, comme prélevés par des archéologues…

un éloge de l’art involontaire
et gratuit 

« L’art ne vient pas coucher dans les lits qu’on a faits pour lui ; il se sauve aussitôt qu’on prononce son nom : ce qu’il aime c’est l’incognito. Ses meilleurs moments sont quand il oublie comment il s’appelle.»
         Jean Dubuffet 

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QUELQUES EXTRAITS

un éloge de l’art spontané… et de l’attention

 

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